rubrique2], nous gagnons et nous perdons en équipe. Notre profondeur, nous avons 12 joueurs de positions qui peuvent avec une grande confiance être insérés dans l’alignement partant. 5 lanceurs, au dessus de 50 manches lancées qui peuvent sans le moindre doute être sur le monticule durant la finale.\n\nAvez-vous prévu une préparation spécifique ? \n- D. Seminet : Rien de plus que d’habitude, c’est sur le terrain que tout se jouera, le jour J et pas avant. \n- D. Scalabrini : Non, je préconise la continuité.\n\n\nQu’est-ce qui va faire la différence ? \n- D. Seminet : L’envie.\n- D. Scalabrini : « The name of the game is pitching » Je suis d’accord avec ce fameux proverbe (par pitching j’inclue la défensive) L’Équipe qui fera le moins d’erreur l’emportera.\n\nSi vous aviez un joueur à prendre dans l’équipe adverse, lequel serait-ce ? \n- D. Seminet : J’aime trop mon équipe pour regarder chez les autres, je regarderais à l’intersaison …. \n- D. Scalabrini : Il y a beaucoup de joueurs que je respecte beaucoup dans l’équipe de Sénart, si j’ai à choisir je dirais probablement Samuel Meurant, un grand compétiteur.\n\n\nQuel regard portez-vous sur la formule du championnat 2008 ? \n- D. Seminet : Je cherche encore l’utilité de faire des matches pour faire des matches ; je sais que l’on doit jouer plus, mais regardez : à la fin de la saison, nous aurons joué 55 matches dont 10 qui servent à rien, juste à dépenser de l’argent, à risquer les blessures… Je crois que ce type de play-offs n’est pas à renouveler dans cette formule.\n- D. Scalabrini : Personnellement, j’aime le système de playoff qui permet des surprises. La formule 2008 favorise un plus grand nombre de partie mais diminue grandement les chances d’une équipe comme Montpellier ou Toulouse de se retrouver en finale. C’est la première fois que j’ai à participer à des playoffs comme ça. Comme entraîneur j’aime, mais comme joueur, je n’aime pas. Pour moi, c’est tout simplement la continuité de la saison. Les playoffs commencent le 11 octobre. Play Ball !!! \n\n\n