\n\nFrançois Colombier, assistant coach\n_ « Quelle bonne nouvelle que de retrouver Robin Roy sous le maillot des Huskies. J’ai vraiment très hâte d’assister à son premier départ, de voir à quel niveau il est arrivé. Je n’ai aucun doute, c’est du très grand Roy qu’on va voir en 2014. Je ne pense pas que Rouen ait déjà eu une rotation aussi complète : Ozanich, meilleur lanceur français, Jason Daniels, qui dominait dans le très dur championnat tchèque, Vaugelade, MVP de la dernière finale, Keino Perez, toujours présent, et un Roy à son meilleur, cela ne va pas être simple pour les frappeurs des autres équipes. Si tout marche bien, cela peut aussi être très intéressant pour la Coupe d’Europe. Personnellement, je suis bien évidemment ravi de repasser des dimanches avec Robin. Depuis quelques années, nous avions plutôt l’habitude de dimanche autour d’un barbecue et d’une bonne bouteille de vin, là , ça sera des dimanches en tenue rayée dans un dug-out, c’est pas mal aussi. J’ai eu l’occasion de voir Robin travailler en salle de musculation ces dernières semaines, j’ai été vraiment impressionné par l’intensité et la concentration qu’il a mis dans sa préparation. Je crois qu’il va encore nous réserver de belles surprises ».\n\nBastien Dagneau, outfielder\n_ J’ai appris aussi que Robin Roy faisait un come-back ? Je suis impressionné par l’engagement qu’il met à sa préparation et aussi par tous les kilos qu’il a perdus pour cela. Je n’ai jamais pu le voir lancer en match, donc je suis content de pouvoir le faire cette année.\n\nXavier Rolland, Président.\n_ Revoir Robin avec nous, c’est un moment de plaisir rare. Il y a ses performances sportives mais aussi son impact psychologique sur notre équipe. Il dégage tellement de sérénité que le simple fait de l’avoir en tenue sur le banc rend plus fort notre équipe. Il dégage cela. Je connais bien Robin, il ne fait jamais les choses à moitié. Quand il s’engage, c’est à 200%, sinon il ne le fait pas. Il va tout donner. Et sa présence, son charisme, son leadership seront précieux pour nos jeunes. Dommage que son fils Alexandre parte si tôt rejoindre les Mariners de Seattle car j’aurais aimé voir le père et le fils se relever lors d’un match ! \n